Accueil Diminution des facultés intellectuelles
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Certains symptômes peuvent ne pas être décelés avant des années car ils se mettent en place très lentement. Persuader une personne que la diminution de son efficacité intellectuelle peut trouver une explication dans le rapport de sa mâchoire avec le reste de son corps peut s’avérer une tâche plutôt ardue. Pendant de nombreuses années, j’ai pensé que la mort progressive de l’être ambitieux que j’étais plus jeune était due à mon vieillissement et que j’avais atteint les limites de mon intellect. Je sais à présent qu’il n’en est rien. Cette baisse des facultés peut être la conséquence d’une déprogrammation du fonctionnement correct de l’individu. Cette déprogrammation est le résultat d’une perturbation structurelle.

Le réflexe naturel du corps médical dans le cas de troubles de la mémoire et de la concentration sera de se focaliser sur le centre opérationnel de l’individu qu’est le cerveau. Le SADAM, de par la diversité des symptômes qu’il engendre, met en évidence le fait que le corps humain doit être considéré globalement. Ce n’est qu’à partir du moment où une personne a pris conscience que le simple fait de pouvoir réfléchir correctement est conditionné par des prérequis structurels qu’il lui est possible d’agir à bon escient sur ses performances.

Contrairement à l’idée reçue, notre intelligence n’est pas entièrement contenue dans notre cerveau. L’être humain dispose de 100 milliards de neurones dont 13,5 millions se trouvent dans la moelle épinière. La moelle épinière est elle-même à l’intérieur des vertèbres. Il se trouve qu’une mauvaise stabilité de la mâchoire est susceptible d’entraîner des perturbations dans la manière dont les vertèbres se meuvent et jouent entres elles. En être conscient permet de mieux comprendre la relation entre le fonctionnement correct de notre structure corporelle et nos performances intellectuelles.

 
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